TRAITÉ À L'USAGE DES MALADES | 25è ÉCLAIR | 30
(1-38)
De plus, par exemple: un homme qui com¬met un très grand péché dont résulte le châti¬ment de l'enfer, tant qu'il entend les menaces de l'enfer, s'il ne se met pas à l'abri contre lui en demandant pardon; comme il veut nier l'exis¬tence de l'enfer avec toute son âme, un petit signe et un petit doute lui donnent le courage de nier l'enfer.
Aussi, par exemple: un homme qui ne fait pas la prière obligatoire et qui n'assure pas le devoir d'adoration, en raison d'un avertisse¬ment pour manque de devoir reçu d'un com¬mandant, est affecté; la paresse dans ses obli¬gations contre les ordres répétés du Souverain de toute éternité donne de l'ennui, et de cet ennui, il désire et dit spirituellement: "S'il n'y avait pas ce devoir d'adoration." Et de ce désir, se réveille une négation qui sous-entend une hostilité à Dieu. Si un doute concernant l'exis¬tence entre dans le cœur, il aura tendance à s'y accrocher comme à une preuve certaine. Un grand précipice s'ouvre à lui. Ce malheureux-là ne sait pas que par cette négation, face à un ennui tout à fait limité venant du devoir d'ado¬ration, dans la négation,il s'expose à des millions d'ennuis spirituels plus terribles que cet ennui-là. En fuyant la piqûre de la mouche, il accepte celle du serpent. Que soit compris ainsi, à la lumière de ces trois exemples, le mystère de "Bel rana ala gulubihim"
DEUXIEME APPROCHE: Comme il a été expliqué dans la Vingt Sixième Parole concer¬nant le mystère du destin: dans les malheurs et les maladies, les hommes n'ont pas le droit de se plaindre selon trois aspects.
Premier aspect: l'Etre Absolu reflète son art à travers l'habit que représente le corps. Il a fait de l'homme un modèle, sur celui-ci, il coupe l'habit qu'est le corps, il le taille, le transforme, Il montre le reflet de Ses différents Noms; comme son nom de Guérisseur nécessite la maladie, son nom de Pourvoyeur aussi néces¬site la faim. Ainsi de suite...
Deuxième aspect: avec les malheurs et les maladies, la vie se purifie, se perfectionne, se renforce, se développe, donne un résultat,
Aussi, par exemple: un homme qui ne fait pas la prière obligatoire et qui n'assure pas le devoir d'adoration, en raison d'un avertisse¬ment pour manque de devoir reçu d'un com¬mandant, est affecté; la paresse dans ses obli¬gations contre les ordres répétés du Souverain de toute éternité donne de l'ennui, et de cet ennui, il désire et dit spirituellement: "S'il n'y avait pas ce devoir d'adoration." Et de ce désir, se réveille une négation qui sous-entend une hostilité à Dieu. Si un doute concernant l'exis¬tence entre dans le cœur, il aura tendance à s'y accrocher comme à une preuve certaine. Un grand précipice s'ouvre à lui. Ce malheureux-là ne sait pas que par cette négation, face à un ennui tout à fait limité venant du devoir d'ado¬ration, dans la négation,il s'expose à des millions d'ennuis spirituels plus terribles que cet ennui-là. En fuyant la piqûre de la mouche, il accepte celle du serpent. Que soit compris ainsi, à la lumière de ces trois exemples, le mystère de "Bel rana ala gulubihim"
DEUXIEME APPROCHE: Comme il a été expliqué dans la Vingt Sixième Parole concer¬nant le mystère du destin: dans les malheurs et les maladies, les hommes n'ont pas le droit de se plaindre selon trois aspects.
Premier aspect: l'Etre Absolu reflète son art à travers l'habit que représente le corps. Il a fait de l'homme un modèle, sur celui-ci, il coupe l'habit qu'est le corps, il le taille, le transforme, Il montre le reflet de Ses différents Noms; comme son nom de Guérisseur nécessite la maladie, son nom de Pourvoyeur aussi néces¬site la faim. Ainsi de suite...
Deuxième aspect: avec les malheurs et les maladies, la vie se purifie, se perfectionne, se renforce, se développe, donne un résultat,
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